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La forêt s’épaississait comme Darel avançait sur le sentier, ses pas résonnant faiblement dans le macrocosme entier meuble. L’air était plus dense, imprégné d’une humidité lourde qui alourdissait chaque prophétie. Il savait que ce chemin n’était pas habituel. La voyance gratuite lui soufflait que cette accès avait duré tracée bien avant sa venue, qu’elle n’était observable qu’à ce qui étaient disposés à la rouer. Les branches formaient une voûte au-dessus de lui, filtrant la luminosité journaliers en minces rayons dorés qui scintillaient entre les feuillages. La nature semblait en suspens, retenue par une signification invisible, comme par exemple si elle-même observait son avancée. Il sentait l’énergie de la forêt pervibrer sous ses pas, un écho délicat qui résonnait en lui, éveillant des sensations enfouies qu’il ne pouvait toujours pas diagnostiquer. La voyance gratuite ne l’avait pas conduit ici sans motif. 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